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Archive pour la catégorie 'Non classé'

Serbie: des salaires, pas des élections!

Posté : 11 mars, 2014 @ 7:50 dans Non classé | Pas de commentaires »

La multiplication des conflits sociaux dans les Balkans (Serbie, Slovénie, Bosnie, etc) montre la résurgence de la bataille entre les classes sociales et le début de la fin des longues nuits de déchirement nationaliste.

Cette montée qui a frisé le soulèvement révolutionnaire en Bosnie récemment montre des états sous influence du FMI et de la Banque Mondiale, de l’appareil de l’UE et des banques, des états qui ont appliqué en bons élèves les recettes de ces châteaux forts du capitalisme et des états qui se trouvent maintenant ruinés, pillés, avec des dirigeants corrompus et enrichis, des oukases venant des institutions fianancières demandant toujours plus de destructions sociales, de privatisations, d’ouverture au pillage.

Le niveau de ces agressions sociales avec comme petites mains les apparatchiks politiques grands-serbes, les nationalistes croates et le parti musulman bosniaque , soulève maintenant la rébellion et la résistance. Une riposte vertueuse commence à se faire jour, rebondissant de la Bosnie à la Serbie, de la Macédoine à la Croatie.

Les travailleurs n’ont pas de patrie.

Serbie

des salaires, pas des élections!

D’après l’Osservatorio balcani e cocasio

A l’instar de la Bosnie-Herzégovine voisine, qui connaît une révolte citoyenne sans précédent depuis son indépendance, la Serbie est agitée par de nombreuses grèves. En cause, les retards récurrents dans le paiement des salaires, le manque d’accès à la sécurité sociale et aux aides des employés des usines en cours de privatisation. Les grévistes annoncent l’intensification de leur mouvement à l’approche des élections législatives, le 16 mars.

Les 1.700 employés de Yumco à Vranje n’ont pas été payés depuis mai  2013. Depuis janvier, les salariés de trois entreprises en cours de privatisation ont organisé des manifestations dans le Sud et le Centre du pays. En tout, 153 entreprises font l’objet d’une procédure de rachat de leurs dettes par l’État, qui est censé investir pour mieux les vendre et les privatiser.

Le gouvernement serbe a promis à la Banque mondiale et au FMI que les privatisations prendraient fin avant l’été, ce qui sous-entend que les entreprises qui ne trouveront pas de repreneurs d’ici-là fermeront purement et simplement et, par conséquent, que plusieurs dizaines de milliers de salariés se retrouveront au chômage.

Pour un grand nombre d’entreprises, la privatisation s’est muée en blocage administratif. Pendant ce temps, les salaires, ainsi que les droits à la sécurité sociale et aux aides éventuelles, ne sont pas garantis. En Serbie, on estime que plus de 50.000 employés ne perçoivent plus de salaires depuis des années. Les syndicats ajoutent à ce chiffre 100.000 autres qui travaillent et attendent leur salaire, plusieurs mois, voire un an. La campagne électorale pour les législatives du 16 mars donnent l’occasion à ces travailleurs de faire entendre leurs revendications et d’espérer avoir une répondre des politiques.

Les 1.700 employés de l’usine Yumco de Vranje, ancien géant de l’industrie textile yougoslave, ont commencé une grève générale en janvier.« Les salaires sont inférieurs au salaire minimum, ils vont de 7.000 à 15.000 dinars par mois (60-130 euros). En plus d’être très bas, ils ne sont jamais reversés. L’entreprise doit huit mois d’arriérés à ses employés, les derniers salaires qui leur ont été versés datent de mai ou de juin 2013, payés en janvier », peste Snežana Veličković, de l’Association des syndicats libres et indépendants. « Faute de cotisation irrégulière, leur carte de sécurité sociale n’est plus à jour. J’ai dit au membres du gouvernement que je pouvais les emmener faire du porte à porte pour leur montrer la misère dans laquelle ces travailleurs vivent, leur montrer qu’ils n’ont pas de quoi payer leur pain ou leurs factures. La situation est similaire dans d’autres usines de Vranje et il y a des familles où les deux conjoints se trouvent dans la même situation, sans aucun revenu », poursuit-elle.

Le mouvement s’est radicalisé à Yumco le 12 février quand plus d’un millier de salariés ont bloqué l’autoroute vers la Macédoine. Un coup de force qui a réussi à attirer l’attention du gouvernement, qui leur a promis de les aider, en leur versant deux salaires minimums (le salaire minimum en Serbie est de 200 euros, NDT) et de mettre leur cartes de sécurité sociale à jour.

Les employés de l’usine de wagons de Kraljevo sont eux aussi en grève depuis mai 2013. Ils n’ont pas reçu de salaire en moyenne depuis 18 mois, qu’ils ont par conséquent perdu leurs droits à la sécurité sociale et qu’ils ne cotisent plus pour leurs retraites. Ces salariés, qui ont toutes les peines à joindre les deux bouts, demandent que l’État leur verse au moins deux salaires minimum pour payer quelques factures et couvrir leurs frais de subsistance de base.

Puisque cette revendication n’a pas été entendue, ils ont décidé de radicaliser leur mouvement en bloquant le 10 février, avec les salariés en colère de deux autres usines, le trafic ferroviaire de toute la Serbie centrale. C’est seulement après ce geste radical que le gouvernement a consenti à entamer des négociations avec eux tout en leur précisant qu’aucune décision ne pourrait être prise avant les élections du 16 mars.

Leurs homologues de l’usine de Smederevo ont des exigences similaires. Ils souhaitent obtenir la mise à jour de leurs cartes de sécurité sociale et le versement de leurs six derniers salaires. Il est ici question d’un mouvement entamé il y a plusieurs années déjà, en 2007, par les employés de l’usine cédée à un consortium roumain. La vente a finalement été annulée en 2011 et depuis, Želvoz est une société anonyme dont l’État est actionnaire principal.

Le mouvement a repris mi-janvier quand les ouvriers sont entrés dans la mairie de Smederevo – certains d’entre eux y ont même passé la nuit -, ont entamé une grève de la faim et sont allés jusqu’à bloquer des rues entières du centre-ville. Après un mois de blocage, les ouvriers ont réussi à faire venir Aleksandar Vučić, le vice-Premier ministre, pour une visite avant tout électorale.

Saša Milovanović, le président du mouvement syndical des travailleurs, syndicat crée à Želvoz et qui ne défend que les intérêts de ces ouvriers, raconte cette rencontre : « Nous avons entendu dire que Vučić allait venir, nous sommes donc allés devant le siège de son parti, où il devait faire une intervention publique. Mais là, des sympathisants et membres du SNS ont commencé à s’infiltrer parmi nous, pour faire croire que nous étions tous ensemble. Nous, les employés de Želvoz, avons donc décidé de nous asseoir par terre pour nous démarquer d’eux. Notre mouvement n’est lié à aucun parti politique, il est de nature syndicale et socio-économique. Comme nous sommes des citoyens de seconde zone, tandis qu’eux, les politiciens, ce sont des citoyens de première classe, nous nous sommes abaissés pour rendre cette différence visible. »

Les grévistes de Vranje, Kraljevo et Smederevo ont des revendications très similaires à celles de leurs voisins de Bosnie-Herzégovine, qui tentent de redonner le pouvoir au peule en réinventant la démocratie citoyenne. Une grande partie de ces manifestants sont aussi des employés d’entreprises privatisées en faillite qui ont perdus tous leurs droits.Ilreste à voir dans quelle mesure les travailleurs et les syndicats serbes seront capables de mettre les questions clés du processus de transition – pauvreté, inégalités, abus du processus de privatisation - au centre du débat public. Ces problèmes, bien que touchant une grande partie de la population, ne sont pas au cœur des préoccupations des partis politiques, de toute façon discrédités aux yeux de la population. 
Malgré la quasi-indifférence internationale et la répression des autorités, la révolte citoyenne continue en Bosnie. En Serbie, les récentes manifestations avaient pour slogan « Des salaires ! Pas des élections ! »…

2 En un mois de très nombreuses grèves en Chine

Posté : 22 janvier, 2012 @ 6:18 dans Non classé | Pas de commentaires »

2

En un mois

de très nombreuses grèves en Chine

et des face-à-face permanents avec les forces anti-émeutes

Province du Jiangsu
Nanjing
(8 millions d’habitants, une capitale historique)
7 ou 8000 ouvriers, 10 lignes de production, 5 usines du groupe sud-coréen LG Display ont été en grève

2  En un mois  de très nombreuses grèves en Chine 611

Ils ne croient plus au père Noël

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Guangdong
Guangzhou (Canton)
Un sous-traitant à capitaux japonais de Honda, Nissan, Suzuki en lutte pour les salaires (ce groupe a 27 usines en Chine):

217

711
1112

dans le Guangdong
Yangjiang
Notani
Pour les salaires dans une usine en joint venture avec des truts allemands, américains, phillipins travaillant sur les leds
Ouvrières en résistances pour augmenter les salaires dans le travail de nuit, entre autre

117
218

dans le Zhejiang
Wenling
Pour les salaires les travailleurs de l’assainissement bloquent les carrefours

219
811
Guangdong
la bataille de Haimen, des milliers de jeunes prolétaires et paysans ont affronté pendant des jours contre la construction d’une nouvelle centrale thermique polluante
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Tel Aviv, les indignés israeliens pour l’égalité sociale

Posté : 6 août, 2011 @ 8:57 dans libertes, Non classé, Palestine, revolutionnaire, societe, solidarite, soulevement de la vie | Pas de commentaires »

http://www.lavieimmo.com/picture/actualite/realsize/manifestation-samedi-a-tel-aviv-29108.jpg

Tel Aviv

les indignés israéliens pour l’égalité sociale

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Israël est secoué par le plus fort mouvement social depuis la création de l’État en 1948.

les salaires n’ont quasiment pas augmenté alors que l’inflation officielle est de 16%, près de 30% d’augmentation pour les produits alimentaires. 25% de la population israélienne vit en dessous du seuil de pauvreté, le cout des logements a augmenté de 63% en 4 ans

En plus de cela les privatisations n’ont cessé de déchirer le pays, notamment dans la santé et l’éducation nationale

chez les jeunes travailleurs il n’est pas rare d’avoir deux ou trois emplois précaires pour essayer de joindre les deux bouts…

la rébellion est d’abord venue de la question du logement où la spéculation s’est déchaînée, encourageant des augmentations de prix monstrueuse, un premier campement de tentes s’est installé pour protester puis d’autres campements dans d’autres villes.

depuis le mouvement ne cesse de s’élargir à d’autres populations, en quantité et en revendications sociales.

si la question du logement est celle qui a lancé le mouvement, il y a de nombreuses autres protestations, comme celle des médecins des hôpitaux publics, de salariés de l’éducation contre la privatisation, des parents lors des « marches des landaus » pour la baisse des prix des produits pour bébés, l’accès aux crèches et aux congés maternité et parentaux

ce mouvement a gagné les villes arabes israéliennes, comme à Nazareth, les villages arables et druzes de Gallilée, des bédouins du Neguev (la population israelienne compte 20% d’arabes), pendant que l’état de guerre permanent était critiqué

les revendications portent sur la gratuité de l’éducation, la création de postes dans le service public, l’augmentation des budgets des hôpitaux, la construction de 50 000 logements, le refus des privatisations, pour la baisse des impôts indirects, la demande d’élargissement des zones constructibles en faveur des villes et villages arabes, la reconnaissance des villages non reconnus des bedouins du Neguev,

87% des Israéliens soutiennent les indignés

d’après un sondage

des manifestations ont rassemblé de plus en plus d’arabes et de juifs, le mouvement se situant de plus en plus entre la classe populaire face à la bande militariste et ultra-libérale dirigeant l’état israélien, alors que le régime essayait de vendre la colonisation et l’état de guerre permanent

les grèves de travailleurs se multiplient face à un régime ultra-libéral qui file tout à quelques très riches familles, pendant qu’il dépense des sommes colossales en armements et dilapide 50% du budget de l’état dans les colonies en Palestine

l’été israélien est dans l’élan du printemps arabe

printemps arabe,  été israélien !

slogan dans plusieurs manifestations

 

les soulèvements dans les pays tout autour de d’Israël ont contribué à cette révolte et on trouve de multiples éléments qui se sont additionnés. Les batailles tout autour, notamment en Jordanie et en Egypte, les revendications sociales arrachées dans ces deux pays ont poussé les travailleurs en Israel à se dire : et nous ?

la protestation est vive en Israël, où la population subit à la fois la recherche du profit maximum par la bourgeoisie et doit en plus supporter le coût de l’occupation et du militarisme, au détriment de services utiles pour la population

le capitalisme déchaîné par des hommes et femmes politiques de paille, si il a contribué à faire de forts taux de croissance, n’a apporté ni la paix ni la prospérité mais l’inverse, la guerre permanente contre le peuple palestinien et l’enrichissement éhonté d’une petite minorité mafieuse bourgeoise qui pille et dilapide tout, rapine l’état, privatise à tours de bras et appauvrit la classe populaire

la necessité d’un monde de libertés où les travailleurs aient le pouvoir est de plus en plus vitale

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et aussi

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le point sur le blog « Journet »

Posté : 31 juillet, 2011 @ 10:46 dans auto organisation, Journal du NPA, libertes, medias, Non classé, revolutionnaire, soulevement de la vie | Pas de commentaires »

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Information

le point sur le blog « Journet »

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un site en pleine reprise

le site « le Journet » avait été suspendu en fin Février, alors que la fréquentation était au plus haut, en attendant des éclaircissements sur l’orientation politique du NPA, parti dont le site était proche

l’indépendance réaffirmée du NPA, parti pour la démocratie du bas vers le haut, vis à vis de partis et appareils politiciens qui n’ont pas même logique, a permis de dégager un peu l’horizon

la reprise en Juin à haut niveau du site a marqué une remontée constante, même dans des mois d’été peu propices à la fréquentation. 

le mois de Juillet 2011 a enregistré un record absolu de fréquentation du blog, même si cela concerne des chiffres très modestes (17 000 sur le mois) mais confirme le besoin d’une information populaire largement basée sur l’utilisation de vidéos, en attendant que l’on dispose de véritables web-télés

 

des reportages filmés

appropriations démocratiques de l’information

des images sont souvent plus démonstratives que bien des textes ardus, comme celles du tout début de la révolution tunisienne envoyées par des personnes en révolte, coupées du monde, par delà les censures et les frontières,  dans une petite ville nommée Sidi Bouzid

ces témoignages filmés, pris souvent avec de simples téléphones portables , loin des grands médias de connivence avec la dictature en Tunisie, ont permis à des travailleurs et jeunes, gens du peuple, isolés par un quadrillage policier, de lancer des SOS et bouteilles à la mer, par delà les frontières.

ces cris furent entendus dans d’autres régions en Tunisie alors que les médias de ce pays étouffaient tout témoignage

et la face du monde en fut changée

bien plus ces images ont souvent été une rupture et une appropriation directe et inconnue jusqu’alors de l’image et du reportage par les populations elles-mêmes, par des travailleurs essayant de montrer leurs batailles et leurs espoirs, par delà les murs de censure des grands médias, aussi épais dans les vieux pays dits démocratiques que dans les dictatures féroces

les grands médias anti-démocratiques 

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les grands médias, journaux, télés, radios, ne sont pas régis par la démocratie mais sont la propriété de riches magnats qui en font ce qu’ils veulent et manipulent les opinions en fonction de leurs intérets, c’est eux qui nous ont vendu du Sarkozy et du DSK, ou de la Marine, qui nous ont vendu que la crise c’était les américains, puis les Grecs, les révolutions arabes, la faute des pauvres, la faute des gens d’origine étrangère,... mais jamais celle des bourgeois qui gouvernent pourtant le monde

à les écouter Sarkozy faisait 1m90 et pas 1m60

la crise c’était fini , les exemples géniaux c’était toujours là où on enlevait des droits aux travailleurs, en changeant à chaque fois d’exemple au fur et à mesure que les amourettes médiatiques sombraient dans le chaos

ainsi chacun se rappelle les déclarations amoureuses des médias sur l’exemple américain du temps de Bush, puis c’est le britannique Blair qui était formidable car il cognait les travailleurs et privatisait tout, la petite Irlande qui faisait du dumping fiscal pour les grands groupes internationaux pris la place, puis ce génial Portugal, enfin ces super dirigeants espagnols qui permettaient aux gens de s’endetter 50 ans pour acheter un appartement (avec le calamiteux Sarko donnant en exemple cette monstruosité) enfin ils nous vendent maintenant les dirigeants allemands, et c’est très mauvais signe pour nos amis allemands

le net a permit une petite ré-appropriation plus démocratique et plus pluraliste, d’entendre et lire des propos moins délirants que ceux de télé-sarko

le Journet se situe dans ce vaste mouvement en souhaitant que cette appropriation ne s’arrête pas au net mais aille aux entreprises, commerces et services afin que les travailleurs les dirigent

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cela ne se fera pas par en haut mais partira d’abord dans la capacité de repousser les agressions d’un régime capitaliste où en France, par exemple,  il y a le plus de milliardaires au monde par rapport au nombre d’habitants, où les 500 plus gros patrimoines français ont grossis en un an de 25%, passant de 194 à 241 milliards d’euros, soit 47 milliards d’euros en plus (le trou de la sécu + le RSA + la CMU + une grosse prime à chaque travailleur en France + enfin nourrir les somaliens en situation de famine), où 36 sur les 40 gros trusts français du CAC 40 ne payent en moyenne que 3,3% d’impôts réellement (là où les travailleurs payent beaucoup plus et où les petites entreprises payent plus de 30%)

résister à cela c’est d’abord résister aussi aux mensonges d’état et des médias anti-démocratiques

on oublie personne

enfin, des luttes sociales ne concernant que quelques travailleurs et donc peu susceptibles d’intéresser les médias de Bouygues, Dassault, Sarkozy, ont été passées pour témoigner solidarité et montrer la nécessité d’un parti qui n’oublie personne, même les plus humbles. Malgré bien des ricanements venus des rangs même d’une gauche élitiste complétant ainsi le rouleau compresseur des grandes télés anti-démocratiques et bourreuses de crâne de la droite et des bourgeois

le passage des petites vidéos de ces travailleurs en lutte sur le site a permis une popularisation de leurs combats, en multipliant les visualisations de leurs appels au secours. Ici ils ont l’assurance d’être entendus plus largement qu’en déposant simplement une vidéo sur You Tube. C’est une aide modeste mais une aide réelle pour se faire entendre plus largement

et personne ne pense ici que cela remplace d’une quelconque façon les liens réels et physiques entre les personnes, ni ne remplace les moyens traditionnels d’échange, mais c’est là un complément indispensable et désenclavant des autres moyens d’expression et d’échange

de la necessité d’un parti de la classe populaire

le monde est ainsi fait, la domination du capitalisme, des actionnaires et des banquiers, ainsi faite que pour résister à cela il est nécessaire d’avoir un parti de type nouveau, construit du bas vers le haut, et surtout permettant que des travailleurs d’une même entreprise, d’un même secteur, puissent s’organiser, pour passer de la résistance aux plans agressifs des Sarkos, Merkel, Zapatero, etc, au pouvoir des travailleurs

aucun parti important ne réponds à cela réellement, cela a existé par le passé, en partie, et les travailleurs étaient alors plus respectés, mais cela n’existe plus

s’organiser, se syndiquer, mais également rejoindre les réseaux de travailleurs révolutionnaires, compléments indispensables aux batailles concrètes, s’est reprendre pied dans la transformation du monde

ne restez pas isolés

 

travailleurs de la santé

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travailleurs des activités postales

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Travailleurs de l’éducation nationale

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la délinquance policière américaine en plein délire répressif, danser est interdit

Posté : 17 juillet, 2011 @ 1:57 dans libertes, Non classé, police, USA | Pas de commentaires »

le naufrage des USA

1

danser est interdit

la délinquance policière américaine en plein délire répressif

danser est interdit, se serrer dans les bras est interdit… le ridicule, la sur-agressivité gratuite, l’abus de pouvoir, un policier américain affublé d’un uniforme est incapable de citer la moindre loi, le moindre règlement  pour justifier son agressivité, ses menaces et sa violence.

http://www.dailymotion.com/video/xjdw9v

 

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